Pourquoi comparer le volume de communication d'un acteur avec la taille de son écosystème ?
Le volume de communication constitue le nombre de documents mentionnant un acteur, à contrario de la taille de son écosystème qui lui, correspond aux nombre de relations qu’il possède avec d’autres entités. La comparaison de ces deux données permet d’identifier les acteurs très communicants qui ont un écosystème plutôt faible : il s'agit souvent de nouveaux acteurs sur le marché, ils sont disruptifs mais n’ont pas encore lié beaucoup de liens avec d’autres entités.
Les acteurs possédant un écosystème important mais une faible communication quant à eux sont habituellement des acteurs historiques qui ont tissé depuis longtemps un réseau et n’ont plus besoin de s’appuyer autant sur la communication. Leur place étant déjà acquise.
1. Identifier les 10 acteurs possédant les écosystèmes les plus importants
A l’aide de ces données vous pouvez facilement créer un graphique en barre tel que celui-ci.
Taille de l'écosystème du Top 10 acteurs
2. Identifier les 10 acteurs les plus communicants
Rendez-vous dans votre Dashboard dans le tableau “Top 25 key facts” qui vous donne une liste d’acteurs et le nombre de documents les mentionnant. Les acteurs sont classés par nombre de mentions dans les documents dans l’ordre décroissant. En identifiant les 10 premiers et leur nombre de documents associés, vous pouvez créer le même type de graphique en barre.
Tips : Si, parmi le top 10 des acteurs ayant le plus gros écosystème et la plus forte communication, vous identifiez des entités qui ne vous intéressent pas comme par exemple des technologies, produits, acteurs gouvernementaux, etc., ignorez-les et identifiez seulement les 10 acteurs qui peuvent être comparables (entreprises du secteur privé par exemple).
Volume de communication du Top 10 acteurs
Pour finir, vous pouvez combiner vos deux graphes en donnant deux couleurs à vos différentes barres (communication vs écosystème) afin que l’analyse soit plus aisée et pouvoir identifier facilement les acteurs disruptifs ou historiques par exemple.
La seconde option est de créer un graphique de position avec en abscisse le volume de communication et en ordonnée la taille d'écosystème.
